test
Maîtrise du métier de traitement des opérations bancaires
Renforcement des capacités des profils juniors de la DO.
Maitriser de la gestion du crédit bancaire
Renforcer les compétences techniques dans la gestion du crédit afin d'assurer l'audit de l'activité.
Maîtrise du Asset et Liability Management
Acquisition d'une vision transversal des métiers, des produits, des techniques et des acteurs de la gestion d'actifs.
Comprendre l'activité du commerce extérieur et les différentes opérations réalisées dans cette activité;
Mettre en place le dispositif de maitrise des risques efficace sur les activités du commerce extérieur & crédits documentaires.
Maitrise des Méthodes et Techniques de Contrôle
Objectifs :
- S’approprier les différentes phases d’une mission d’audit dans une banque
- Maitriser les Techniques d'Audit Financier
- Comprendre le dispositif de maîtrise des risques bancaires
MESURE ET GESTION DU RISQUE DE CREDIT
Le banquier d’aujourd’hui, et plus encore celui de demain, peut-il s’estimer bien formé dès lors qu’il connait la théorie du compte courant ou sait définir la provision du chèque ? Pour nécessaire qu’elles soient, les notions de base bancaire ne suffisent plus à décrire la relation de la banque et de son client. Certes, pour exercer correctement l’activité, le banquier connait ces règles nécessaires à l’opération de banque : l’opération elle-même (compte, moyens de paiement, crédit, garanties...) et le statut de celui avec lequel il contracte (capacité et régime matrimonial du particulier, structure des personnes morales).
Dans un monde qui s’ouvre à grande vitesse à l’international et à la concurrence, le banquier doit
faire face à la nécessaire industrialisation de son activité qu’il doit savoir concilier avec une demande
forte émanant des clients. La mise en œuvre de règles de sécurité renforcée est aujourd’hui
multiforme. Elle concerne aussi bien l’établissement de la relation contractuelle avec le client que
le renforcement des contrôles internes et externes des établissements, destinés à assurer la solidité
globale des systèmes bancaires et financiers.
LE CONTROLE COMPTABLE BANCAIRE
· Objectif général :
L’objectif de la formation est de fournir un descriptif des principes comptables spécifiques à l’activité bancaire, pour vérifier la régularité, la sincérité et l’exhaustivité des comptes.
· Public concerné :
Auditeurs internes, contrôleurs internes, risk managers
La maitrise du risque de Marché et de Contrepartie
Objectifs / Compétences
- Comprendre les spécificités et les problématiques des différents risques de contrepartie
- Maîtriser les techniques d’évaluation du risque de contrepartie sur opérations de marché utilisées dans le risk management
- Décrire la CVA
- Maîtriser les problématiques de suivi du risque de contrepartie sur le plan de la gestion interne et au niveau réglementaire (Bâle II et III)
- Fondamentaux
- Introduction à la typologie des risques
- Rappel sur le concept de Var (Value at Risk)
- Différence entre risque de marché, risque de crédit et risque de contrepartie sur opérations de marché
- Typologie des différents risques de crédit (risque de contrepartie, risque de variation, risque de règlement – livraison, risque émetteur)
- Mesurer le risque de contrepartie sur les opérations de marché
- Définition des différentes mesures du risque de variation
- Facteurs de réduction du risque de variation (Netting, Collateral)
- Quantification du risque de variation
- Crédit Valuation Adjustment (CVA)
Travaux Pratiques
- Calcul de l’exposition par la méthode CEM et SA-CCR
- Calcul des profils de risque sur des instruments de marché par la méthode IMM
- Calcul du Risk weight par les méthodes standard, IRBF et IRBA
- Utilisation du risque de variation en interne dans la banque
- Aspects opérationnels
- Encadrement des activités, limites par contrepartie et / ou par pays
- Capital économique
- Calcul de la rentabilité des opérations de marché
Travaux Pratiques
- Calcul de CVA
- Calcul des fonds propres pour variation de CVA
CONTROLE ET AUDIT BANCAIRE
Le banquier d’aujourd’hui, et plus encore celui de demain, peut-il s’estimer bien formé dès lors qu’il connait la théorie du compte courant ou sait définir la provision du chèque ?
Pour nécessaire qu’elles soient, les notions de base bancaire ne suffisent plus à décrire la relation de la banque et de son client.
Certes, pour exercer correctement l’activité, le banquier connait ces règles nécessaires à l’opération de banque : l’opération elle-même (compte, moyens de paiement, crédit, garanties...) et le statut de celui avec lequel il contracte (capacité et régime matrimonial du particulier, structure des personnes morales).
Dans un monde qui s’ouvre à grande vitesse à l’international et à la concurrence, le banquier doit faire face à la nécessaire industrialisation de son activité qu’il doit savoir concilier avec une demande forte émanant des clients. La mise en œuvre de règles de sécurité renforcée est aujourd’hui multiforme. Elle concerne aussi bien l’établissement de la relation contractuelle avec le client que le renforcement des contrôles internes et externes des établissements, destinés à assurer la solidité globale des systèmes bancaires et financiers.
OBJECTIFS :
Selon le référentiel normatif CNCC de juillet 2003 les procédures de contrôle interne impliquent : le respect des politiques de gestion, la sauvegarde des actifs, la prévention et la détection des fraudes, l’exactitude et l’exhaustivité des enregistrements comptables, l’établissement en temps voulu d’informations comptables et financières fiables (Norme 2-301 « Évaluation du risque et contrôle interne »). Le référentiel COSO (Committee of Sponsoring Organization of the Treadway Commission) définit le contrôle interne comme « un processus mis en œuvre par le conseil d’administration, les dirigeants et le personnel d’une organisation destiné à fournir une assurance raisonnable quant à la réalisation des objectifs suivants : la réalisation et l’optimisation des opérations, la fiabilité des informations financières, la conformité aux lois et aux réglementations en vigueur ». Ces définitions appliquées à la banque concernent un périmètre très vaste : l’efficacité opérationnelle ne concerne pas seulement l’optimisation de la gestion interne mais également la maîtrise des différents risques attachés à l’activité bancaire.
CAUTIONNEMENTS ET GARANTIES BANCAIRES INTERNATIONALES
Le développement des activités commerciales à l’ère de la
mondialisation, fait naitre une nouvelle manière de conduire les opérations
commerciales. Face à la mauvaise foi de certains donneurs d’ordre et des
risques liés à l’exécution de certains contrats, la pratique commerciale de nos
jours exige à titre de sûretés, l’engagement d’un tiers potentiellement
solvable en cas de défaillance du bénéficiaire ou du donneur d’ordre. Ce tiers
agissant en qualité de caution, demeure le plus souvent une banque ou une
institution assimilée. Une telle opération en raison de la qualité et de la
quantité, soulève certains problèmes juridiques qui contraignent à s’intéresser
à la science des cautions et garanties bancaires internationales, science
rempli d’une certaine technicité et d’un mécanisme particulier. Ainsi inculquer
les bases voire renforcer les capacités des banquiers face à cette pratique
courante ayant conduit à une règlementation internationale par les Nations
Unies dans le cadre de la CNUDCI à travers une convention de 1995 entrée en
vigueur le 1er Janvier 2000 dite convention sur les garanties
indépendantes et lettre de crédit standby, ainsi que d’autres textes
internationaux.